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Troubles liés aux hallucinogènes : intoxication, abus, dépendance - DSM-IV

Par Neptune 

le 23/01/2014 

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Ce groupe de substances variées inclut l'ergot et les produits voisins :

  • acide diéthylamide lysergique [LSD], graines de « belles de jour »,
  • les phénylalkylamines (mescaline, "STP3" [12,5-dimethoxy-4-méthylamphétarninel, et la MDMA [3,4-méthylènedioxymétamphétamine] aussi appelé « Ecstasy »),
  • les alcaloïdes indoliques (psilocybine, DMT [diméthyltryptamine]) 
  • divers autres produits.

Sont exclus de ce groupe, la phencyclidine (PCP), ou le cannabis et son produit actif, le delta-9-tétrahydrocannabinol (THC). Bien que ces substances puissent avoir des effets hallucinogènes, elles sont abordées séparément à cause de différences significatives quant à leurs autres effets psychologiques et comportementaux.

Les hallucinogènes sont, en général, pris oralement, bien que le DMT soit fumé et que l'utilisation en injection soit possible.

Cette section comporte des précisions spécifiques aux troubles liés aux hallucinogènes. Des textes et des critères ont déjà été donnés pour définir les aspects généraux de la dépendance à une substance et de l'abus d'une substance qui s'appliquent à toutes les substances. L'application de ces critères généraux à la dépendance et à l'abus d'hallucinogènes est indiquée ci-dessous. Cependant, il n'y a pas de critères spécifiques pour la dépendance aux hallucinogènes ou l'abus d'hallucinogènes.

Un texte et un ensemble de critères spécifiques à l'intoxication aux hallucinogènes sont donnés ci-dessous. Une tolérance se développe lors d'une utilisation répétée, mais la survenue d'un sevrage cliniquement significatif à ces substances n'est pas bien établi. C'est pour cette raison que le diagnostic de sevrage aux hallucinogènes n'est pas inclus dans ce manuel.

Les troubles induits par les hallucinogènes (autres que l'intoxication aux hallucinogènes) sont décrits dans les sections de ce manuel avec les troubles dont ils partagent la présentation clinique (p. ex., le trouble de l'humeur induit par les hallucinogènes est inclus dans la section « troubles de l'humeur »).

La liste des troubles liés à l'utilisation des hallucinogènes et des troubles induits par les hallucinogènes est donnée ci-dessous.

Troubles liés à l'utilisation des hallucinogènes


Troubles induits par les hallucinogènes



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Dépendance aux hallucinogènes




Se référer aussi au texte et aux critères pour la dépendance à une substance  .

Un des critères généraux de dépendance (c.-à-d. le sevrage) ne s'applique pas aux hallucinogènes et d'autres demandent une explication complémentaire. On a signalé qu'une tolérance aux effets euphorisants et psychédéliques des hallucinogènes se développait rapidement mais pas la tolérance aux effets neurovégétatifs tels que
  • dilatation pupillaire,
  • hyperréflexie,
  • augmentation de la pression artérielle,
  • augmentation de la température corporelle,
  • piloérection, 
  • tachycardie.

Une tolérance croisée existe entre le LSD et les autres hallucinogènes (p. ex., la psilocybine et la mescaline) mais elle ne s'étend pas à la plupart des autres catégories de drogues telles que le PCP et le cannabis. L'utilisation des hallucinogènes, même chez des sujets dont les manifestations correspondent intégralement aux critères de dépendance, se limite souvent à quelques prises par semaines. Bien que l'on ait montré l'apparition d'un phénomène de sevrage uniquement chez l'animal, il a clairement été rapporté des sensations de "manque" après l'arrêt des hallucinogènes. Du fait de la longue demi-vie et de la durée d'action prolongée de la plupart des hallucinogènes, les sujets ayant une dépendance aux hallucinogènes passent souvent des heures ou des jours à les utiliser et à récupérer de leurs effets. Inversement, certains hallucinogènes « conçus à cet effet » (p. ex., le DMT) ont une durée d'action très courte.

L'utilisation d'hallucinogènes peut se poursuivre bien que leurs effets indésirables soient connus (p. ex., altération de la mémoire au cours de l'intoxication, « mauvais voyages » qui sont en général des réactions de panique, ou flash-backs). Certains sujets qui utilisent le MDMA (une drogue conçue pour ses effets hallucinogènes) décrivent une « gueule de bois » le jour qui suit l'utilisation, caractérisée par une insomnie, une fatigue, une somnolence, une douleur maxillaire liée à la crispation des muscles, des pertes d'équilibre, et des maux de tête. Dans la mesure où des impuretés ou des ersatz sont souvent vendus comme « acide » ou autres hallucinogènes, certains des effets indésirables signalés peuvent être dus à des substances comme la strychnine, la phencyclidine, ou l'amphétamine. Certains sujets peuvent présenter des comportements dangereux (p. ex., sauter par la fenêtre en croyant pouvoir voler) du fait d'un manque de prise de conscience ou d'un défaut de jugement au cours de l'intoxication. Ces effets indésirables apparaissent plus fréquents parmi les individus qui ont un trouble mental préexistant.

Spécifications




Les spécifications suivantes pour l'évolution peuvent s'appliquer au diagnostic de dépendance aux hallucinogènes. Elles sont codées au cinquième caractère.

  • O Rémission précoce complète
  • O Rémission précoce partielle
  • O Rémission prolongée complète
  • O Rémission prolongée partielle
  • 1 En environnement protégé


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Abus d'hallucinogènes




Se référer aussi au texte et aux critères pour l'Abus d'une substance.
Les personnes qui abusent d'hallucinogènes les utilisent nettement moins souvent que celles ayant une dépendance. Cependant, ils peuvent ne pas remplir leurs obligations majeures à l'école, au travail ou à la maison, de manière répétitive, du fait des perturbations comportementales causées par l'Intoxication aux hallucinogènes. Le sujet peut utiliser des hallucinogènes dans des situations où cela est physiquement dangereux (p. ex., lors de la conduite d'une moto ou d'une voiture), et des problèmes judiciaires peuvent survenir du fait des comportements résultant de l'intoxication, ou de la possession d'hallucinogènes. Il peut y avoir des problèmes sociaux ou relationnels récurrents au cours de l'intoxication, un isolement social, ou des disputes avec des proches.

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Intoxication aux hallucinogènes




Se référer aussi au texte et aux critères pour l'Intoxication par une substance.

Critère A et B

    La caractéristique essentielle de l'intoxication aux hallucinogènes est la présence de changements, comportementaux ou psychologiques, inadaptés, cliniquement significatifs,  par exemple :

    • anxiété ou dépression marquées,
    • idées de référence,
    • peur de devenir fou,
    • mode de pensée persécutoire,
    • altération du jugement ou altération du fonctionnement social ou professionnel)
    se développant pendant ou peu après (de quelques minutes à quelques heures) l'utilisation d'un hallucinogène.

Critère C

    Des altérations des perceptions se développent pendant ou peu après l'ingestion d'un hallucinogène et se produisent dans un état de pleine conscience et de plein éveil.


Critère D

    Ces changements incluent

    De plus, le diagnostic requiert qu'au moins deux des signes physiologiques suivants, soient aussi présents :
    • dilatation pupillaire,
    • tachycardie,
    • transpiration,
    • palpitations,
    • vision trouble,
    • tremblements, 
    • incoordination motrice.

Critère E

    Les symptômes ne doivent pas être dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental.

    L'intoxication aux hallucinogènes commence en général par quelques effets stimulants comme une fébrilité et une activation neurovégétative. Des nausées peuvent survenir. Une séquence de sensations se produit ensuite, des doses plus élevées produisant des symptômes plus intenses. Des sentiments d'euphorie peuvent alterner rapidement avec de la dépression et de l'anxiété. Les illusions visuelles initiales ou les expériences sensorielles intensifiées peuvent faire place à des hallucinations. Souvent, à faibles doses, les changements perceptifs ne comportent pas d'hallucinations. Les
    synesthésies (une fusion des sensations) peuvent conduire, par exemple, à ce que des sons soient « vus ». Les hallucinations sont en général visuelles, souvent faites de formes ou de figures géométriques, parfois de personnes et d'objets. Plus rarement, il s'agit d'hallucinations auditives ou tactiles. Dans la plupart des cas, l'appréciation de la réalité est conservée (c.-à-d. que le sujet sait que les effets sont induits par la substance).


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Trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes (Flash-backs)





Critère A

    La caractéristique essentielle du trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes (Flash-backs) est la répétition transitoire de perturbations perceptives qui rappellent celles éprouvées antérieurement au cours d'au moins une Intoxication aux hallucinogènes. La personne ne doit pas avoir eu d'Intoxication récente aux hallucinogènes, et ne doit pas présenter actuellement des symptômes de toxicité d'une drogue.

Critère B

    Cette nouvelle expérience de symptômes perceptifs cause une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d'autres domaines.

Critère C

    Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale (p. ex., lésions anatomiques et infections cérébrales ou épilepsies visuelles), et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental (p. ex., Delirium, Démence ou Schizophrénie), ou par des hallucinations hypnopompique.


Les perturbations perceptives peuvent inclure des formes géométriques, des images à la périphérie du champ visuel, des flashs de couleur, une intensification des couleurs, des traînées d'images (images qui demeurent suspendues sur la trajectoire d'un objet en mouvement comme on en voit en photographie stroboscopique), une perception d'objets entiers, une persistance des images (une « ombre » de l'objet, de même couleur ou en couleur complémentaire, persistant après la disparition de l'objet), des halos autour des objets, une macropsie, et une micropsie. Les perceptions anormales qui sont associées au Trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes se produisent épisodiquement et peuvent être auto-induites (p. ex., en pensant à elles) ou être déclenchées par l'entrée dans un environnement sombre, par des drogues variées, par l'anxiété ou la fatigue, ou par d'autres éléments stressants. Les épisodes peuvent céder après plusieurs mois, mais de nombreuses personnes rapportent des épisodes persistant pendant 5 ans ou plus. L'appréciation de la réalité demeure intacte (c.-à-d. que la personne reconnaît que la perception est un effet de la drogue et ne représente pas la réalité extérieure). Cependant, si la personne a une interprétation délirante pour expliquer la perturbation des perceptions, le diagnostic approprié sera celui de Trouble psychotique non spécifié.

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Autres troubles induits par les hallucinogènes




Les troubles induits par les hallucinogènes suivants sont décrits dans d'autres sections de ce manuel avec les troubles dont ils partagent la présentation clinique :
Ces troubles ne sont diagnostiqués à la place de l'intoxication aux hallucinogènes que si les symptômes sont excessifs par rapport à ceux qui sont habituellement associés au syndrome d'intoxication aux hallucinogènes et si les symptômes sont suffisamment sévères pour justifier, par eux-mêmes, un examen clinique.


Informations supplémentaires sur les Troubles liés aux hallucinogènes





Caractéristiques et troubles associés


    En cas d'intoxication par un hallucinogène, les sujets peuvent être volubiles et bavards et présenter des variations rapides de leur état « thymique ». Terreur et anxiété peuvent devenir intenses avec peur de perdre la raison ou de mourir. Beaucoup de substances hallucinogènes ont des effets stimulants (p. ex., tachycardie, hypertension légère, hyperthermie, et dilatation pupillaire) et peuvent causer certaines manifestations caractéristiques de l'Intoxication aux amphétamines. Les perturbations perceptives et les altérations du jugement associées à l'Intoxication aux hallucinogènes peuvent conduire
    à des blessures ou des décès par accident automobile, bagarres ou tentatives de « voler » à partir d'endroits élevés. Des facteurs liés à l'environnement, à la personnalité et aux attentes du sujet utilisant les hallucinogènes peuvent influencer la nature et la sévérité de l'Intoxication aux hallucinogènes. L'intoxication peut aussi s'associer à des changements physiques comportant une augmentation de la glycémie, du cortisol, de l'ACTH et de la prolactine. Le Trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes peut provoquer une anxiété et une inquiétude considérable et peut être plus fréquent chez des personnes suggestibles. Une dépendance et un abus d'hallucinogènes peuvent se produire en même temps que des troubles psychotiques chroniques.

    On discute encore pour savoir si l'utilisation chronique d'hallucinogènes produit un Trouble psychotique de novo, ne déclenche des symptômes psychotiques que chez des personnes vulnérables ou constitue simplement le signe précoce et durable d'un processus psychotique évolutif.

    L'abus et la dépendance aux hallucinogènes se produisent aussi fréquemment chez des personnes présentant un Trouble des conduites préexistant, au cours de l'adolescence, ou une Personnalité antisociale, à l'âge adulte. L'intoxication par le LSD peut être confirmée par la toxicologie urinaire.

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Caractéristiques liées à la culture, à l'âge et au sexe


    Les hallucinogènes peuvent être consommés dans le cadre de pratiques religieuses reconnues comme le peyotl dans la Native American Church. Aux États-Unis, il existe des différences d'utilisation selon les régions. L'Intoxication par les hallucinogènes débute au cours de l'adolescence, et les utilisateurs les plus jeunes peuvent ressentir des émotions plus perturbantes. L'utilisation d'hallucinogènes et l'Intoxication aux hallucinogènes semblent trois fois plus fréquentes chez l'homme que chez la femme.

Prévalence


    Les hallucinogènes ont été en vogue aux États-Unis dans les années 1960. Au fil du temps, plusieurs de ces produits ont connu la faveur des utilisateurs, mais dans les années 1990, les deux drogues de cette classe les plus fréquemment utilisées ont été le LSD et le MDMA. On estime que le pic de prévalence de prise d'hallucinogènes aux États-Unis s'est situé entre 1966 et 1970 environ, avec, par la suite, un déclin, mais il semble exister une faible augmentation de leur usage à partir de 1990 environ.
    Selon une étude nationale menée en 1996 sur l'utilisation des drogues, 10% des sujets âgés de 12 ans et plus ont reconnu avoir déjà pris un hallucinogène. La proportion la plus élevée des sujets ayant déjà utilisé l'un ou l'autre de ces produits était située dans la classe d'âge 18-25 ans (16 %) ; 7 % de cette classe d'âge en avaient utilisé au cours des 12 derniers mois et 2 % au cours du dernier mois. Lors d'une enquête menée en 1997 chez des étudiants de licence, il a été rapporté que 15 % d'entre eux avaient déjà utilisé des hallucinogènes, et 10 % au cours des douze derniers mois. Il faut noter que ces enquêtes mesurent des modes d'utilisation plutôt que des troubles, si bien que l'on ne sait pas combien des sujets étudiés ayant utilisé des hallucinogènes avaient les symptômes remplissant les critères de dépendance ou d'abus.
    Une enquête menée sur la population générale aux États-Unis en 1992 a rapporté une prévalence sur la vie entière d'environ 0,6 % pour l'Abus d'hallucinogènes et la Dépendance aux hallucinogènes, avec une prévalence au cours des 12 derniers mois d'environ 0,1 %.


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Évolution


    L'Intoxication aux hallucinogènes peut être un événement bref et isolé ou peut se produire de manière répétitive. L'intoxication peut être prolongée si les doses sont répétées fréquemment au cours d'un épisode. Une prise fréquente, cependant, tend à réduire les effets de l'intoxication du fait du développement d'une tolérance.

    Selon le produit et sa voie d'administration, le pic des effets survient en quelques minutes à quelques heures, et l'intoxication cesse quelques heures à quelques jours après la fin des prises. La forte prévalence de ceux qui ont utilisé au moins une fois des hallucinogènes dans le groupe des 26-34 ans et la prévalence plus faible de l'utilisation récente dans ce groupe suggère que de nombreux sujets pourraient cesser d'utiliser les hallucinogènes en vieillissant. Certains sujets qui utilisent des hallucinogènes font état de « flash-backs » qui ne sont associés ni à une déficience ni à une souffrance. A l'inverse, les flash-backs peuvent causer une déficience ou une souffrance chez certains sujets (trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes, voir ci-dessus).


Diagnostic différentiel


Pour une discussion générale du diagnostic différentiel des troubles liés à une substance, voir le chapitre "Troubles liés à une substance".

Les troubles induits par les hallucinogènes peuvent être caractérisés par des symptômes (p. ex., idées délirantes) qui ressemblent à des troubles mentaux primaires (p. ex., Trouble schizophréniforme pour le Trouble psychotique induit par les hallucinogènes, avec idées délirantes, avec début pendant le sevrage). Voir les chapitres correspondants pour un diagnostic différentiel.

L'Intoxication aux hallucinogènes doit être différenciée de l'Intoxication à l'amphétamine ou de l'Intoxication à la phencyclidine. Des tests toxicologiques sont utiles pour faire cette distinction.

L'Intoxication par les anticholinergiques peut aussi produire des hallucinations, mais elles sont souvent associées à des manifestations physiques : fièvre, bouche ou peau sèche, faciès vultueux, et perturbations visuelles.

L'intoxication aux hallucinogènes se distingue des autres Troubles induits par les hallucinogènes (p. ex., Trouble anxieux induit par les hallucinogènes, avec début pendant l'intoxication) par le fait que, dans ces troubles, les symptômes vont au-delà de ceux habituellement associés a l'Intoxication aux hallucinogènes et sont suffisamment sévères pour justifier, par eux-mêmes, un examen clinique.

L'intoxication aux hallucinogènes se distingue du Trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes (Flash-backs) par le fait que ce dernier persiste, épisodiquement, pendant des semaines (ou plus) après l'intoxication la plus récente.

Dans le trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes, le sujet ne croit pas que la perception représente la réalité externe alors qu'une personne ayant un Trouble psychotique croit souvent que la perception est réelle.

Un trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes, peut être distingué d'une migraine, d'une épilepsie, ou d'une maladie neurologique à partir des antécédents neuro-ophtalmologiques, de l'examen physique, et des examens complémentaires appropriés.

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Correspondance avec les Critères diagnostiques pour la recherche de la CIM-10


    Les critères de la CIM-10 et du DSM-IV pour l'intoxication aux hallucinogènes sont approximativement les mêmes.

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Trouble lié aux hallucinogènes non spécifié




Le trouble lié aux hallucinogènes non spécifié s'applique aux troubles associés à l'utilisation d'hallucinogènes qui ne peuvent pas être classés comme dépendance aux hallucinogènes, abus d'hallucinogènes, intoxication aux hallucinogènes, trouble persistant des perceptions dû aux hallucinogènes (Flash-backs), delirium par intoxication aux hallucinogènes, trouble psychotique induit par les hallucinogènes, trouble de l'humeur induit par les hallucinogènes, trouble anxieux induit par les hallucinogènes.


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(4) Ang. : designer drugs. L'expression traduit le fait que certaines drogues sont quasiment fabriquées "sur mesure", pour obtenir tel type d'effet (N.d.T.)



Dernière édition par Neptune le 23/4/2014, 18:03, édité 14 fois

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